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LI SHA-TIN DOIT MOURIR - nouvelle couverture
Numéro: 144Li Sha-tin est un mafieux chinois. Après avoir gagné des millions avec ses trafics de contrebande et ses actes de corruption, il a dû précipitamment quitter la Chine. Il s'est réfugié à Vancouver, au Canada. Il sait qu'il est traqué par d'autres trafiquants et mais surtout par les services secrets chinois.Malko est envoyé par la CIA à Vancouver pour faire en sorte que Li soit transféré aux États-Unis car il dispose de secrets compromettants à l'égard de hauts dignitaires chinois. La jeune Chinoise jaillit de la CRV Honda, un fusil d’assaut «Armalite» au poing. En savoir plus7,95 € -
ARMAGEDDON - nouvelle couverture
Numéro: 143Depuis la reprise de l'Intifada en septembre 2000, la direction du Shin Beth est stressée par la virulence quotidienne des attaques palestiniennes. Une réunion a lieu au siège des services. Le directeur, Ezra Patir, a un problème avec « Gog et Magog » et s'en ouvre au Premier ministre Ariel Sharon. Peu de temps après, le major Marwan Rajoub, militaire de l'Autorité palestinienne et faisant partie d'un groupe de liaison avec la CIA afin de lutter contre le Hezbollah et le Hamas, est assassiné alors qu'il est en Israël. — Je ne suis pas Israélien, protesta Malko. En savoir plus7,95 € -
TUEZ LE PAPE -Nouvelle couverture
Numéro: 142Malko balaya le bar du regard sans rien apercevoir de suspect. Jusqu’à ce qu’il baisse les yeux, apercevant quelque chose sous la banquette, là où il était assis : une valise métallique. En une fraction de seconde, il comprit. Il se leva d’un bond, si brutalement qu’il renversa le guéridon et sa vodka. Tout en se ruant vers le hall, il lança à la serveuse éberluée : Bistro ! Davai ! Stupéfaite, elle ne bougea pas. Malko jaillit du bar, le pouls à 150, sachant qu’il avait la mort aux trousses. En savoir plus7,95 € -
L'OTAGE DE JOLO - nouvelle couverture
Numéro: 141En 1971 Kadafi autorisa l’ouverture d’un bureau en Libye pour le chef de la résistance islamique aux Philippines , un certain Nur Misuari, pour qui il finança les actions terroristes. Après avoir combattu avec les moudjahidines en Afghanistan contre les soviétiques, en 1992 le philippin Abubakar Janjalani fonda le groupe « Abu Sayyaf ». Très vite, ils furent plusieurs centaines, équipés de fusils d’assaut, de mitrailleuses, de mortiers et canons sans recul. Le tout financé d’abord par la Libye par l’intermédiaire de leur ambassadeur à Manille, Rajab Azzarouk, en réalité représentant les Services libyens. En savoir plus7,54 €
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